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Hier, je suis allée au Club d'écrivains amateurs pour la 1re fois. Ce que j'ai pu aimer ça! Pas juste l'activité: je me suis sentie en phase avec ces gens! Je faisais plus que communiquer avec eux...Je me voyais dans plusieurs d'entre eux. J'ai été moi, juste moi, et ça les a épatés.
Ça m'a longtemps manqué. Je me rends compte que ce genre de contact très intense, avec des bibittes de la même espèce que moi, me stimule énormément. Ça me remet en lien avec ce que je suis, ça me rend à moi-même...
Je me suis surprise à me remettre à écrire de la poésie, alors que je croyais ma plume définitivement asséchée. Et j'aime ce que j'écris; j'arrive à me dire...
J'espère bien réussir à y aller le mois prochain. Je fais déjà des plans dans ce sens, au cas où je travaillerais de soir... Ha! J'y serais retournée dès le lendemain!
Bien entendu, l'image qui surplombe cet article n'est pas de moi!
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Dernièrement, j'ai revu une personne que je n'avais pas vue depuis plusieurs mois. Quelle n'a pas été ma surprise de constater que l'ami en question avait perdu plusieurs kilos. Au point d'être à peine reconnaissable.
Sa diète? Elle porte le nom de sa blonde (copine, petite amie...)! Depuis qu'il est avec elle, il fond comme neige au soleil. Et ce n'est pas parce qu'elle lui cuisine des petits plats minceur. Non, c'est plutôt l'amour, qu'elle lui sert en version light!
Je pense personnellement que lorsqu'une relation nous donne des brûlures d'estomac, fait monter notre tension, nous fait maigrir etc, ce n'est pas une relation saine et encore moins de l'amour. L'amour, ça rend heureux, ça apporte un petit plus à une vie déja bien remplie!
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Soirée éprouvante, soirée magique. J'étais partagée entre le plaisir de montrer mes oeuvres, de communiquer aux autres ce que la photo me faisait vivre et...l'impression d'être trop en avant-plan, de manquer de modestie. Pourtant, tout le monde montrait ses photos et se présentait, c'était une soirée pour ça.
On m'a inculqué que le désir de briller était mal. Que ce soit par l'apparence ou les réalisations. À quelque part, pour être correcte...je dois échouer, me terrer dans un coin, me taire. Comment réussir avec une telle merde dans la tête! Et ce cri qui me monte du coeur: "Regardez-moi! Regardez-moi! Regardez ce que j'ai réussi!"
Quelque chose de sain en moi me pousse à sortir de ce destructeur pattern. Mais comme il est douloureux de se rebeller contre les enseignements rigides venus du passé. Comme il est douloureux de monter sur les planches avec les projecteurs qui nous mettent bien en évidence...même s'ils ne sont que dans notre tête. Mais c'est si bon aussi, ces quelques minutes de gloire... Bon à en avoir le coeur en chamade, même si les mains et la voix tremblent.
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Je l'ai photographiée dans ma main qui servait en locurence de perchoir-mangeoire! J'étais partie avec l'idée de faire ce genre de photo aujourd'hui: j'ai réussi!
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