• "Dans tous les cas, mariez-vous: si vous tombez sur un bon conjoint, vous serez heureux; et si vous tombez sur un mauvais conjoint, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour la nature humaine." (Louis Fortin)

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  •  Ce texte provient du site Bonheur pour tous.

    Une question d'attitude !

    Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : "Si j'allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi !"

    Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.

    Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ?"

    Et Jerry de répondre : "Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."

    "Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je. Et Jerry d'enchaîner : "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."

    Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés.

    En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n'ont pas traîné et il a vite été transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l'hôpital avec des débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui retirer du corps.

    J'ai revu Jerry six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ?" Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. Et Jerry de dire : "La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait tirer une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre."

    "T'as pas eu peur ?" lui dis-je. Et lui de répondre : "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite."

    "Et alors, qu'as-tu fait ?"

    "Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me Bombardait de questions : elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort !"

    Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante ! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

    Maintenant, c'est à vous de choisir :
    1- ou bien vous faites disparaître ce message,
    2- ou bien vous l'acheminez à des gens qui vous sont proches.

    J'ai choisi la deuxième option et j'ose croire que vous en ferez autant.

    Anonyme


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  • Ceux qui attendent les grandes occasions pour prouver leur tendresse ne savent pas aimer.

    [ Laure Conan ] Extrait de Angéline de Montbrun

    Site Psytami


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  • Ce texte provient du site Psytami  

    http://www.geocities.com/psytami/reflexions.html#Positivisme

    [ Anonyme ]
    Histoire d'âne

    Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puit.
    L'animal gémissait pitoyablement depuis des heures et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puit devait disparaître de toute façon. Ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
    Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puit.
    Et, à la stupéfaction de chacun, l'âne s'est tu.

    Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puit et a été étonné de ce qu'il a vu.
    Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait de plus en plus haut.

    Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puit et se mit à trotter !



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  •  Pensez-y à 2 fois
     
         Une vielle légende indienne raconte qu'un brave trouva un jour un
      oeuf d'aigle et le déposa dans le nid d'une « poule de prairie ».
      L'aiglon vit le jour au milieu d'une portée de poussins de prairie
      et grandit avec eux.
     
         Toute sa vie l'aigle fit ce qu'une poule de prairie fait
      normalement. Il chercha dans la terre des insectes et de la
      nourriture. Il caqueta de la même façon qu'une poule de prairie.
      Et lorsqu'il volait, c'était dans un nuage de plumes et sur
      quelques mètres à peine.
     
         Après tout, c'est ainsi que les poules de prairie sont censées
      voler.
     
         Les années passèrent. Et l'aigle devint très vieux. Un jour,
      il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage.
      S'élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants,
      faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.
     
         "Quel oiseau splendide !" dit notre aigle à ses voisins.
      "Qu'est-ce que c'est ?"
     
         "C'est un Aigle, le roi des oiseaux," cacqueta sa voisine.
      "Mais il ne sert à rien d'y penser à deux fois. Tu ne sera jamais
      un aigle."
     
         Ainsi l'aigle n'y pensa jamais à deux fois.
     
         Il mourut en pensant qu'il était une poule de prairie. 
     
    Vous est- il arrivé de penser que vous étiez une poule de prairie? Pensez-y...à 2 fois!

    www.club-positif.com


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