J'adore les chats! Les petits, les gros... Mais je préfère ceux qui sont beaux à force d'être laids! Plus l'animal a de moustachures bizarres, plus il me plaît!

J'aimerais vous parler d'un chaton que j'ai eu il y a près de 20 ans. C'était un petit maigrichon noir, vigoureux et curieux. Ça avait tout le temps faim, cette petite bête-là. Il grimpait sur la table pendant que nous mangions, question de dîner et de fouiner.  J'ai résolu le problème en le perchant sur mon épaule pendant le repas : de son perchoir il pouvait satisfaire sa curiosité...et nous ficher la paix! Il n'essayait même pas d'approcher ma fourchette lorsque je la portais à ma bouche. Il était satisfait. Mon mari n'en revenait pas. Mais j'ai toujours su comprendre les besoins de mes chats et arriver à une entente avec eux...

Un jour, le petit noir poilu en a fait une bonne! J'étais en train de dépecer un poulet, lorsque le téléphone a sonné. Je suis allée répondre. Quelques minutes plus tard, j'entends « bang » et une lumière rouge s'allume dans ma tête : mon poulet! Je lâche le téléphone et cours en direction du bruit.

Là, sur le sol, il y avait un petit minet qui grignotait furieusement un poulet 4 fois plus gros que lui. Et là, la lutte a commencé : poulet à moi! Non, miaw à moi! A moi! Non miaw, à moi! J'te dis qu'y est à moi!!!

Pour finir, j'ai gagné. Mais ça n'a pas été sans une lutte acharnée! J'en ai été quitte pour laver ma volaille et retrancher la partie grignotée! Et je n'ai jamais oublié mon petit noir entêté!

On m'avait en principe trouvé une place de stage, mais ça n'a pas marché finalement. Les employés ne voulaient pas d'une stagiaire. Dans le fond, c'est mieux ainsi : je n'aurais pas été bien traitée...

 

À mon stage actuel, tout le monde se réjouit, ça en est ridicule! Autant je désire partir pour aller faire mon AFP, autant ils veulent que je reste! Les employés m'aiment et se fendent en quatre pour m'êtrre agréables. Quant à la boss et aux bénévoles de l'atelier de réparation, ils apprécient énormément le coup de main que je leur donne...

 

Dans le fond, cette situation désagréable me permet de sentir combien on m'apprécie...

 

Se lever avec un bon mal de tête et une forte envie de se recoucher. Mettre comme par automatisme un pied devant l'autre. Manger de force, parce que la fatigue coupe la faim. Rêver d'aller nager, danser, mais devoir rester à la maison pour se reposer.

Être fatiguée...d'être fatiguée! Voilà ce que je vis de temps à autre. Cette réalité est d'ailleurs la mienne depuis 3 bonnes semaines. C'est à hurler... Alors s'il y a moins de textes dans mon blog ces temps-ci, vous savez pourquoi!

Je préfère la nourriture faite maison à celle achetée. C'est encore plus vrai quand il s'agit de surgelés. Mais toute règle a ses exceptions!

L'exception dans ce cas-ci s'appelle Les Décadents. Ce sont des petits gâteaux surgelés, Le Choix du Président au chocolat fondant vendus en boîtes de 4. J'y ai goûté pour première fois au Réveillon avec Richard. Celui-ci n'est pas un grand amateur de pâtisseries chocolatées, cependant il a été d'accord avec moi : c'était divinement cochon!!! Je les ai servis avec du jus de cerises au marasquin que j'ai simplement épaissi. La combinaison des goûts était assez épatante.

Le gâteau est tendre et croustillant à souhait. Au centre se niche le plus chocolaté et crémeux fondant que vous n'avez jamais goûté. Essayez-les et redonnez-moi en des nouvelles! Personnellement, je trouve que ça vaut la peine de s'en offrir de temps en temps... Et ce n'est vraiment pas gênant de servir ça à la visite!

Merci à Nab et à un Inconnu pour leurs commentaires sur la Saga du brunch du 25 déc et sur l'Indifférence. Ça me montre que je suis lue et que mes textes sont appréciés.

Par contre, peu de gens osent écrire une suite à l'histoire interactive de la rubrique "Vraiment l'fun d'écrire ensemble". Hé! Ce n'est pas nécessaire d'être poète, écrivain ou d'écrire sans aucune faute! Tout ce que je veux, c'est vos idées. Et puis, si je le juge nécessaire pour la bonne compréhension du texte, je me réserve le droit de corriger ce que vous aurez écrit (je le mettrai en italique, tiens!).