• J'ia décidé de prendre la relève de Mère Indigne avec son sujet tabou d'il y a quelques mois. Contrairement à elle, je ne parlerai pas de coco, mais de... Au fait, quel est le sujet?

    Ha, c'est un sujet (hot: y a pas plus piquant!)connu de toutes les femmes! Un sujet brûlant, dérangeant (et démangeant!), toujours irritable (heu: irritant! Irritable, c'est vous qui l'êtes, au bout d'une semaine!), très sociable (ben oui, il sera ravi de se communiquer à votre conjoint!). Si d'aventure vous vous risquez à vous asseoir, une belle paire de jeans bien raides sur le dos, gare aux tiraillements (et aux cris d'extase!) qu'amènera le retour à la position debout!

    Ha, vous l'avez deviné, n'est-ce pas? Je parle ici d'une vaginite! Si vous n'avez pas encore trouvé, c'est...que vous êtes un homme! Par contre, monsieur, si vous avez déjà fait des galipettes non protégées avec une dame infectée de champignons, vous connaissez ce détestable malaise trop sociable! Je parie que vous vous grattez (ne me dîtes pas où!), juste d'y penser! On garde les mains dans les poches, messieurs, pas dessus!

    Quant à vous, mesdames, vous désirez que cette grande sociable vienne vous rendre visite: 2 petites shot d'antibiotiques suffisent! Et...bonnes grattouilles entre sociables!


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  • J'ai recommencé à étudier en vue de passer mon examen: au bout de 2 heures, la tête me tournait tellement que j'ai dû aller me coucher. Je ne m'illusionne donc pas sur mes chances de réussir ledit examen. Mais rien ne pourra m'empêcher de tenter le coup. Ma victoire sera simplement d'un tout autre ordre: de celui du courage... Moi, je saurai que j'ai donné mon max. Si je réussis le test en prime, tant mieux! Mais je pense que c'est aller au-devant d'un cuisant sentiment d'échec que de miser là-dessus, compte tenu de mon état...

    Présentement, pour une raison qui m'est totalement inconnue, j'ai moins de douleur le jour (à part aux repas et quand je parle beaucoup!), que la nuit. Ce qui fait que je dors de moins en moins et m'épuise rapidement. De plus, la douleur me tire pas mal d'énergie...

    Je ferai donc mon examen pour la satisfaction de m'être rendue jusqu'au bout...en souhaitant ardemment le réussir, mais sans trop y croire. Quoiqu'il arrive, je m'auto-décernerai la médaille du courage!


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  • ...ou mourir!

    Mon amie Rivière me trouve bien patiente de faire tout ça, c'est-à-dire le travail sur mon blog. Ça ne fair rire, parce que l'écriture, donc ce blog, c'est ce qui me sauve...

    Dans le fond, beaucoup de gens n'ont que deux choix dans la vie: rire ou pleurer. Moi...j'écris, je crée et...ça me fait vivre l'âme!

    Et vous, qu'est-ce qui vous fait vivre? Que faites-vous pour aller bien, quand tout s'écroule autour de vous? Ou pour magnifier votre bonheur... Hé! n'hésitez-pas à nous en laisser un petit échantillon ou à laisser votre adresse de blog afin que nous allions constater ça de visu!


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  • Vous aurez sûrement compris en lisant mon précédent article ( Méchoui), qu'en raison d'une erreur de mon médecin, je n'avais pu recevoir mon traitement. Je devrai attendre encore plusieurs mois...

    Bien entendu, j'étais très en colère; j'aurais pu engueuler le personnel de l'hôpital (qui n'y était pour rien...) ou fondre en larmes. Ce n'aurait guère été positif, à la fois pour ces gens et pour moi. Non, j'ai plutôt choisi de canaliser positivement ma colère dans un texte humoristique. J'ai ainsi évité de blesser inutilement des gens qui ne m'avaient rien fait...et j'ai fait baisser le presto en riant un bon coup lors de la relecture de ma "recette"! De plus, je crois que le personnel a apprécié mon contrôle. Au fait: une personne ayant une personnalité borderline n'est pas sensée avoir un tel contrôle émotif! Comme quoi ça se développe!

    Il reste que je vais devoir avoir une sérieuse discussion avec mon médecin! Dans l'entretemps, j'ai décidé que 2 heures de rage intense était tout ce que mon médecin méritait. Dans le fond, pourquoi dépenserais-je de l'énergie en colère inutile pendant des heures, pour quelqu'un qui n'est même pas digne de cette colère, refusant de reconnaître ses erreurs?...


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  • Avant de concocter ce genre de "menu", ça prend une bonne "préparation". Il faut, par exemple, se rendre à l'hôpital afin d'y recevoir une infiltration dans la colonne, et attendre 3 heures pour se faire dire que, sans tel examen indispensable ( que ledit médecin a omis de vous faire passer!), il est impossible de faire l'infiltration. Il est nécessaire, avant tout, d'avoir attendu ledit traitement pendant 3 mois, au préalable...

    Ensuite, vous reprenez l'autobus et, confortablement assise sur la banquette, laissez aller votre imagination. Vous vous voyez en train de ficeler votre incompétent diplômé à l'immense broche; cela vous tire un petit sourire. Vous arrosez ensuite votre pièce de con (toujours mentalement: quel fantasme!), d'un mélange de mélasse, de vinaigre, de suie et d'huile. Insistez sur la bouche: emplissez-la bien afin qu'il n'en sorte plus d'âneries! Ensuite, allumez le feu; ça crépite, votre coeur en palpite!

    La broche commence à tourner au-dessus des flammes, les poils de votre con diplômé roussissent: quelle joie.  Un tour de plus: voilà le con tout frisé! Le summum du bonheur!  Surtout, ne vous emballez pas trop! La cuisson doit se faire à feu très très doux: les cons diplômés ont la chair considérablement dure et nécessitent un temps de cuisson prolongé afin de les attendrir à souhait.

    Bon appétit! En tout cas, moi, je me régale juste à la pensée de ma recette; ça m'évite de faire un meurtre!

    P.S.: Excusez-moi si j'oublie parfois des mots (je viens de faire la correction), j'ai la cervelle plutôt molle; je suis gelée jusqu'aux yeux pour ne plus sentir ma douleur. Ça ramollit un peu la cervellel...

     


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